Ça y est. L’hiver est à nos portes. Pis chaque année, je repense à cet événement qui m’est arrivé il y a quelques années… Alors emmitouflez-vous d’une chaude couverture, et laissez-vous bercer par ce doux récit hivernal.
Lundi soir, en finissant mon shift, j’étais dans un état beaucoup trop festif pour conduire. Inutile de vous dire que mon état ne s’est point amélioré en allant prendre des shots au bar après, avec mes collègues. J’ai donc abandonné ma petite Civic sans défenses dans les méandres du centre-ville, et c’est mon fils qui m’a ramenée à la maison. Oui, parents parfaits fatigants que l’tabarnac: mon enfant, qui travaille avec moi depuis quelques mois, m’a ramenée complètement torchée à la maison.
Did you say D.P.J.?
Crédit photo : Carl Thériault - carltheriault.com
Le lendemain après-midi, telle une fille qui aurait fait voeu de non réussite dans la vie, je me suis réveillée avec un mal de tête incroyable et la certitude d’être une grosse criss de conne, parce que je n’avais ni un véhicule pour me rendre au travail, ni un fils sur l’horaire du mardi soir.
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Crédit photo : Andréane Chamberland
